Je lis pas mal de comics, très divers, mais très peu de comics de super héros (tout Will Eisner, 100 bullets, Sam and Twitch, Buddy Bradley, Calvin et Hobbes, les Peanuts, Krazy Kat, parfois Robert Crumb,...). Je vous poste le pitch d'une oeuvre assez particulière, que vous connaissez peut-être. Il s'agit de Jimmy Corrigan de Chris Ware, publié par Delcourt en France (présentation de l'éditeur):
"Jimmy Corrigan est le garçon le plus intelligent au monde, c'est Superman qui le lui a dit. Mais, quand Superman se suicide, tout s'accélère pour Jimmy. Ce célibataire timide d'une quarantaine d'années, dont la mère est très possessive, fait en peu de temps la connaissance de son père Jimmy, de son grand-père Jimmy et de sa soeur Amy. Ce comics semi-autobiographique nous fait sans cesse voyager entre la réalité et les rêves angoissés de Jimmy à travers une ligne graphique très claire d'où transpirent pourtant nombre de sentiments et qui contraste avec la mise en page torturée de l'ouvrage. Il finit par préfigurer la réalité quand Chris Ware apprend que son père, avec qui il venait de renouer le contact, à l'instar du père de Jimmy, meurt brutalement peu après."
Le format, la construction, la narration, sont très singuliers, avec parfois beaucoup de cases au format différent, qui demandent attention quant à leur agencement. Il y a nombre de références à d'autres comics US. On accroche ou pas, c'est très tranché. Moi j'ai aimé:
"Jimmy Corrigan est le garçon le plus intelligent au monde, c'est Superman qui le lui a dit. Mais, quand Superman se suicide, tout s'accélère pour Jimmy. Ce célibataire timide d'une quarantaine d'années, dont la mère est très possessive, fait en peu de temps la connaissance de son père Jimmy, de son grand-père Jimmy et de sa soeur Amy. Ce comics semi-autobiographique nous fait sans cesse voyager entre la réalité et les rêves angoissés de Jimmy à travers une ligne graphique très claire d'où transpirent pourtant nombre de sentiments et qui contraste avec la mise en page torturée de l'ouvrage. Il finit par préfigurer la réalité quand Chris Ware apprend que son père, avec qui il venait de renouer le contact, à l'instar du père de Jimmy, meurt brutalement peu après."
Le format, la construction, la narration, sont très singuliers, avec parfois beaucoup de cases au format différent, qui demandent attention quant à leur agencement. Il y a nombre de références à d'autres comics US. On accroche ou pas, c'est très tranché. Moi j'ai aimé: